Suite et fin du 4 Novembre 2009... toujours aussi nase !

Bien, nous en étions resté à ce moment terriblement cruel, où n'ayant aucunes pitier pour vos nerfs, je vous ai laissé quoi devant un moment de suspence très intence ! Bref, en arrivant devant la voiture, je me suis mise à fouiller dans mon sac pour en extraire mes clefs. J'ai eu beau chercher, je fis chou blanc ( si quelqu'un sait d'où vient cette expression je suis preneuse !). Me voilà donc aux prises avec un terrible malaise, Where is my trousseau of keys ? C'est quand j'ai fait tomber mon sac ( à l'nvers, bah oui sinon c'est moins drôle) que j'ai vu avec une horreur non cotenue, mes clefs ! Mais à cela de tragique qu'elles étaient à l'interieur de la voiture, sur le contacte! Comment décrire le mélange de haine et deception envers mon pauvre cerveau ? Je crois qu'on ne peut pas, trop complexe, Freud peut être aurait pu, mais pas de bol il est plus là !

C'est dans l'adversité la plus ardue que l'on découvre deux choses:

Premièrement: Sa capacité à immaginer toutes les possibilitées les plus terrifiantes qui vont de paire avec l'absence totale de moyens de rentrer chez soit tant à Rouen qu'à Amiens.

deuxièmement: La grande joie d'avoir des amis ultra soffistiqués ! Mais vous verrez plus tard !

Bref, n'écoutant que mon courage je me suis lancée dans une quète de compagnons de fortune. Soit, en réalité, j'ai foncé chez Pauline pour lui demander asile et appeller Arielle à l'aide ! Ah oui, parce que j'oubliai... la technologie ne sert à rien ! J'avais plus de crédit d'appel ! Chez Pauline je mets en place une tactique d'attaque très élaborée . Il faut vous dire que ça fait déjà 5 jours que je me dit qu'il faut que je ferme la fenêtre arrière de ma voiture et que je ne fais pas ! Et heureusement ! Grâce à cette heureuse déficience mentale j'ai pu ... Tel la fille de Mac Giver, avec une cuillière en plastique, un bout de bois et un bout de fil de fer, j'ai OUVERT MA PORTIERE ! Et oui, bon ça a pas était facile facile ! FAut dire aussi qu'on s'est tapé une averce de la mort... mais toujours au taquet, n'écoutant que mon courage, j'ai vaincu !

Alors Champagne non ?