mercredi 29 juillet 2009

Je me demande si ...



Mercredi 29 juillet

19h15


Pensée du jour: " Si ça ne devait pas ma tuer je t'embrasserai." Chuck ( non pas Norris !)




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Je me demande encore comment je fais pour tenir sur mes deux petites jambes. Je ne sais pas vraiment comment appréhender les quelques jours qui s'etendent devant moi. Parrait que c'est par semaine que ça dérappe... pourvu que se soit vrai. Il y a des jours où l'on se dit que tout va bien, après un "hier" un peu rude. D'ailleurs revenons un peu sur ce "hier". Heureusement que vous m'avez sortis un peu les filles ... Tois morts en deux jours je dois dire que j'ai un peu de mal à voir le coté in de la vie...


Je pense que j'eprouve le besoin d'ecrire ( si on peu dire écrire), pour me souvenir et me forcer à rester bien en phase avec le monde. Elle me manquera beaucoup cette inconnue vu deux fois dans toute une courte vie, mais je l'aimais bien. Elle avait le prénom de mon héroïne de dessin annimé d'enfance. Vous voyez, face à ce grand vide, il me semble que je perds un peu de moi, un tout petit peu, mais suffisement pour me dire qu'une chanson à deux balles peu faire ressurgir des idées un peu gaie. Je n'arrive pas à parler, elle me manque tellement, c'est stupide. Je la connaissait pas. Bref, je pense que je suis pas trop normale en fin de compte...


La musique un peu nase que je vous fait écouter, me donne des envies de vies fictives... Comme un film Super8 qui défile en sautant...


Ca dennerait ça.


Je vais me contenter de me coucher ce soir en rêvant le plus possible à des jours nouveaux ou meilleurs où tous mes connaissances nimbées de brouillard se matérialiseront rien que pour moi.




Egoïstement votre.

jeudi 23 juillet 2009

Petite pensée à moi même.




Jeudi 23 juillet

18h43


Pensée du jour : " Homicide par grattage olfactif, mais où sont les mecs qui se buttaient avec un bon vieux fligue ?" Je vous le demande ...




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Il est vrai que j'ai un peu moli sur ce coup là. Mais j'en suis consiente c'est déjà pas mal ! Je refuse d'écrire une seule autre ligne avant de discutailler avec Tiphaine. Veuillez ne pas lire si vous ne vous appellez pas Tiphaine.


Ma nouvelle très chère amie,


J'aime a commencer nos lettres comme si nous étions de très vieille et de très chère amies. Je crois que j'ai du écrire cette phrase un grand nombre de fois, mais je l'aime toujours autant. Tout d'abord je voudrais de remercier de vive clavier ( comment dit on ? de vive voix ? Mais bon faut bien transposer!). Je suis très heureuse de t'avoir un peu touchée avec mes mots ou mes " causeries de proussienne en folie! Je dois dire que j'écris un peu au feeling ( ou en plus d'être douée en français je suis bilingue ! Je suis très demandée sur la plaque tournante de la bourse mondiale ... OU PAS !). Je me suis longtemps demandé, face à la masse de commentaires que la population internaute me laisse ( soit 4 commenatires en deux mois je tiens le bon bout !) que mon talent littéraire étais proche du degres zéro. Merci à toi de me redonner du punch, au même titre que les autres personnes qui sont à l'origine des messages laissés. Je vais me pencher sur cette question lancée par moi... Je suis un peu émotive comme jeune fille, voir limite lacrymale. Je passe mon temps à pleurer devant des films géniaux, ce qui a pour conséquance directe de me cacher les trois quart de l'oeuvre cinématographique. En effet, deux cas se posent: soit je pleure tellement que je vois le film en version aquatique ce qui se présente sous forme d'un petit niveau de liquide dans le bas de l'image. Soit je me lève pour faire genre-j-ai-un-truc-à-faire-urgent-dans-la-minute-non-mais-pas-sur-pause-je-reveins, ce qui à pour résultat dramatique le tronçonnage de mon film en différent niveau de sanglot. Mais tu as tellement raison de dire que c'est un peu le meilleur cadeau que je puisse faire à des acteurs. Je rentre un peu trop dans l'histoire... Mais je sais aussi rire, je passe d'ailleurs la plupart de mon temps à me marrer ! Je trouve que cette façon de communiquer est très originale, et je crois que je vais l'adopter.


Alors à ciber très bientôt, ma nouvelle très chère amie.


L.


ps: Soyez honnête qui a tout lu ? Quand je dis qui c'est pour ceux qui ne s'appellent pas Tiphaine ! Bon je vous en veux pas, mais manifestez vous ! Déchaînez vous sur les messages personnels, je vous promets de répondre.



Je suis un peu absorbée par mon travail. Il faut dire que le soir c'est un peu douche, pijama, miam, et dodo, dans cet ordre et sans incartades. Sans rire, je dois faire face à un grand nombre de distractions extérieures, mon métier est fort dangereux... D'ailleurs je pense de plus en plus à faire le récit totale et presque pas romancer de ma vie... Seriez vous aware ?

samedi 4 juillet 2009

Comme quoi, quand on a envie de pleurer ça ne marche pas, mais quand on doit se retenir c'est impossible ....



Samedi 4 juillet
18h16

La pensée du jour: "La plupart des rêves ont tendence à se faire ratraper par la réalité, c'est pourquoi j'entraînne les miens à courir plus vite", de je ne sais plus qui.




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Il y a des oeuvres qui vous transpersent de part en part sans que vous sachiez réellement pourquoi. Cela peut être une vielle chanson qui fait rejaillir en vous une prairie avec des poneys, un endroit que vous aviez pris soins d'enfouir loins de vos émotion. Cela peut être un tableau négligament posé dans un recoins sombre de brocante. Un de ces tableaux totalement inconue mais dégage un mégnétisme qui nous dépasse, une sorte de douceur intemporel qui vous place dans un autre monde l'espace d'un instant. Cela peut être une photo cornée qui represente un homme en costume dont on vous dit que c'est votre grand père. Etre mystérieux dont le nom sonne faux à vos oreilles. Cela peut être un film, qui vous ravage tellement fort que vous vous demander comment cela est possible. Une histoire improbable qui chamboulle votre vie, qui vous fait voir l'envers du décors, un envres dont vous rêviez et qui, une fois obtenue, vous plonge dans une mélancolie profonde et malsaine. Cela peut vous prendre n'importe où, n'importe quand, en cela, cette émotion est terrifiante. Ce qui vous pulvérise d'autant plus, ce qui vous plonge dans une tristesse si profonde qui rien n'y fait, vous pleurer en vous demandant encore comment ça se fait que vous êtes tremper et essoufler.


Certains films vous mette face à des situations intolérables, des injustices tellement affreuses que vous ne comprenez pas bien pourquoi on vous vous infligez ça. Oui, on s'inflige à soit même des corvées tellement dures alors que personne ne vous a rien demander. Ces images peuvent vous faire rire et pleurer en un clein d'oeil, c'est ça la force des hommes, leur capacités à suciter l'effondrement ou la joie. Il y des films qui vous remettent face à vous même. Cela sont si difficiles à assimiler que l'on se demande encore pourquoi, deux plus tard on est encore si plein de cette émotion. Ces films là... ces films là on les regarde encore et encore avec toujours cette engoisse des larmes. Comme c'est stupide non? Ces hitoires que l'on vous inventent pour vous faire rêver, comment ce fait il que ça vous touche tellement? Un simple enchaînement de séquences, une phrase prononcée et vous voila en larmes sans vraiment comprendre pourquoi. Et puis, l'explication s'impose d'elle même en vous plaquant la dure réalité de votre vie.


On traîne tous une histoire horrible dans nos valises. Seulement parfois, même en le voulant très fort, on arrive pas à vider ces valises. Peut être parce que, finalement, ces valises, c'est vous... c'est ce qui fait que l'on s'éffondre devant une image quelquonque. Peut être aussi parce que, tout au fond de nous, ça nous rassure de savoir que nous aussi on a notre aprt d'humanité, cellée dans une malle en bois fixtive qui vous suit. Peut être aussi parce que finalement on est jamais vraiment seul avec elle...


C'est stupide, vous pensez ?